La loi sur les violences en bandes publiée au Journal Officiel

L’article 1 donne le ton en punissant d’un an d’emprisonnement les groupes formés « en vue de la préparation de violences volontaires contre des personnes ou de dégradations de biens ».

Exercice des forces anti-émeutes. Le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, affirme que 348 affaires de violences entre bandes ont été recensées en France en 2009. (AFP)

La loi sur la violence en bandes et à l’école, adoptée par le Parlement le 11 février, a été publiée mercredi 3 mars au Journal Officiel.
Dans son article 1, la nouvelle loi prévoit que « le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation […] de violences volontaires contre les personnes ou de destruction ou dégradations de biens est puni d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende« .
L’article l’article 13 réprime l’intrusion de personnes non autorisées et l’introduction d’armes dans un établissement scolaire, ce qui constitue un délit puni d’un an d’emprisonnement et 7.500 euros d’amende. Dans certaines circonstances (intrusion en réunion avec arme) on peut encourir jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende.
Le Parlement avait donné le 11 février son feu vert définitif à ce nouvel arsenal contre la violence en bandes, à l’école et dans les stades, avec un ultime vote du Sénat. La proposition de loi « renforçant la lutte contre les violences de groupes et la protection des personnes chargées d’une mission de service public » avait été rédigée par le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, avant son entrée au gouvernement en juin 2009.

source tempsreel.nouvelobs.com.

Le chômage bat de nouveaux records !!!

200 médicaments moins bien remboursés dès avril

Sauf celui là bien sûr !!!

source non-fide.fr.

Tintin va voler dans les supermarchés !

La suite sur la-sulfateuse.blogspot.com.

Parce qu’ils sont nazes et parce qu’ils flippent

Saint-Astier : Seize gendarmes blessés à l’entraînement

Le 16 février dernier, ces militaires mobiles d’Orange simulaient un affrontement.

L’information a été longue à filtrer, mais elle a été confirmée hier soir par la gendarmerie. Mardi 16 février dernier, au centre d’entraînement de la gendarmerie à Saint-Astier, seize gendarmes de l’escadron mobile d’Orange (84) ont été blessés au cours d’un entraînement.

Ce soir-là, les gendarmes mobiles qui sont «en recyclage de formation au maintien de l’ordre» jouent le rôle des manifestants et font face à la Garde républicaine. «Ces formations durent quinze jours et montent en pression progressivement pour arriver à des situations les plus proches de la réalité. L’objectif est de tester la capacité d’une unité face à une manifestation hostile», explique-t-on à la gendarmerie.

Comme dans un contexte réel avec l’autorisation du Préfet et sommation préalable, les gendarmes peuvent user «de moyens pour agir contre cette force hostile». Un garde républicain a utilisé une grenade dont «l’effet principal est un souffle et qui n’est pas destinée à blesser». «Par méprise ou inattention, il l’a envoyée sur les manifestants alors qu’elles doivent être jetées dans des cages en béton spécialement conçues pour ça», poursuit la source à la gendarmerie.

Traumatismes auditifs

Au total, seize gendarmes mobiles de l’escadron d’Orange ont donc été blessés. Quinze d’entre eux souffrent de traumatismes auditifs sérieux tandis qu’un dernier a été légèrement blessé à la cheville par des éclats issus de la grenade.

Ce type d’accident reste extrêmement rare au centre de Saint-Astier. Le précédent remonte à 1996, où un capitaine de gendarmerie avait été mortellement blessé après avoir été renversé par un véhicule blindé.

source juralibertaire.over-blog.com d’après www.sudouest.com.